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RESUME DU LIVRE 

Il était une fois une histoire vraie qui prend sa source dans l’enfance. La réalité des faits et des lieux ne laisse aucun doute. La réalité des personnages s’inscrit dans leur histoire et dans l’interaction de ces histoires personnelles. Les quatre personnages principaux vont et viennent dans leur enfance pour trouver une solution à leur futur. Ils se croisent et s’aiment, se hantent et se tuent, vivent et confessent sans retenue.

Ils parlent d’eux et nous font découvrir chacun leur tour leur réalité des évènements. Une seule chose les réunit, ils parlent de vérité et ne l’aiment pas. L’histoire commence dans les années 60 dans un village, on le devine du nord de Nantes ou sud de Rennes, non loin du canal de Nantes à Brest. Ils nomment peu les lieux, ils les connaissent trop sans doute, au cœur de paysages aimés, dans quelques villes des bords du canal qui coupe la Bretagne.

L’eau est un des fils conducteurs de l’intrigue car il s’agit bien d’une histoire policière humide.

Une histoire où chaque personnage a son mot à dire ou ne pas dire. Une histoire simple sur les relations entre les femmes, les hommes, la violence, les espoirs, la vie et son corollaire, la mort.

Une histoire où chacun prend la parole pour exprimer quelque chose ou tout simplement raconter les faits tels qu’ils furent vécus.

Lorsque les personnages parlent, nous nous écoutons au plus profond. Même celui qui n’a jamais tué comprendra. 

 

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BIOGRAPHIE :

Après avoir forgé sa patience en ferrant quelques bêtes de somme, il a usé quelques enseignants dans une formation mécanique mal ajustée. Pour digérer ce départ un peu branlant, il a été suivi par des études dites de relations humaines passant sans autre forme d’espoir de la sociologie à la psychologie, puis l’ergonomie et enfin l’économie.

Avec ce bagage coloré, il travaille dans l’industrie lourde et vit pour le théâtre léger. Avec le temps, il devient vendeur de trucs plus ou moins utiles et achète, pour synthétiser toutes les expériences accumulées, une manufacture d’orgues. Celle-ci revendue, il se met à raconter des histoires.

Il écrit des histoires vraies, et uniquement des histoires vraies, faites de gens qu’il a croisés simplement au coin d’une rue et qui en un instant, dans un regard, lui ont raconté leur vie en le suppliant d’écrire tout ou partie de celle-ci, pour que subsiste une ombre sur leur passage.