RESUME DU LIVRE :
Un lutteur à l’huile à la retraite se casse la hanche. Il est opéré par un jeune chirurgien turc et bénéficie des dernières avancées techniques venant de France. Il guérit puis décède brutalement quelques semaines plus tard. On parle de rupture d’une artère dans son cerveau. Cette technique innovante se généralise dans tout le pays au point de faire disparaître ces fractures liées au vieillissement de l’os. De ce fait, la situation économique du pays s’améliore en matière de santé. Ce produit vient de la mer. Il s’agit du corail naturel. Dans le même temps, on observe une augmentation considérable des ventes de cocaïne dans le monde. Il n’y a – a priori – aucun lien entre ces deux phénomènes. C’est aux enquêteurs de répondre à cette question. Trouveront-ils la réponse ? |
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BIOGRAPHIE : |
Dès l’âge de 7 ans, John Barrot se destina aux soins du corps. Quelques années plus tard, il se mit à lʼécriture. Depuis, il mena parallèlement ces deux passions. Interne des Hôpitaux de Paris, chef de clinique assistant, chef de service, chercheur, conseiller scientifique, inventeur, détenteur de nombreux brevets, conférencier, membre de sociétés savantes, il mit entièrement sa passion au service de la médecine. Parallèlement, soit au cours de ses loisirs, soit la nuit, il écrivit.
Accaparé par son métier, il n’eut pas le temps de se consacrer à cette exigeante maîtresse. Arrivé à l’âge de la jubilation, il se lance un nouveau défi : réussir à se faire éditer. Il est l’auteur de plus de dix ouvrages dans des domaines aussi variés que ceux de la médecine, de la poésie et du roman policier scientifique. Il est membre du G.E.M. Sa décision d’écrire ce roman fut prise à la suite d’un dîner auquel il avait convié Jean-Christian Petitfils. Ils parlaient de la course aux éditeurs. Il disait en avoir assez de se faire renvoyer avec toujours le même formulaire : « Vous nʼentrez pas dans la ligne de nos publications », de lʼinutilité d’aller se faire du mal dans les salons du livre trustés par les grandes maisons d’édition, regardant passer leurs futurs lecteurs sans même qu’ils vous jettent un regard. « Bien sûr, enchaîna-t-il, on peut toujours sʼamuser à jouer au bateleur de foire, à tenter dʼappâter le client en lʼagrippant au passage. Mais, quand on n’a pas cette fibre populaire, on reste assis, regardant passer les lecteurs comme les vaches les trains ! » Après ce constat affligeant un silence sʼétablit. Aujourd’hui, 7 écrit lui propose un nouveau deal. Ayant été en contact avec Marc-Henry Solange, qui lui a longuement expliqué les nouveaux rapports entre un auteur et son éditeur, il va tenter lʼaventure de cette nouvelle formule que celui-ci a introduite en France : le contrat participatif. |