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Patricaia-Arnoux-Les-animaux-le-hommes-PRINT

RESUME DU LIVRE 

Ce n’est ni un roman, ni de la poésie, juste un partage de ma passion de l’humain et de l’animal à travers mon action de médiation animale en milieu carcéral. Des photos prises pendant notre travail, des moments « volés », un zoom sur ce lien entre deux êtres vivants, presque invisible à première vue mais bien réel.

Je voudrais donner une autre image de la prison et de ses occupants, mettre la lumière sur un milieu qui fait peur, que l’on ne connaît que par « extraits de films », un univers totalement déshumanisé, que l’on veut oublier, cacher… L’animal permet d’y entrer de manière douce, naturelle et permet de croire en l’humanité qu’il y a en chacun de nous. Il est important pour moi également de partager ma collaboration avec mon partenaire depuis 11 ans, un golden retriever, nommé Sunny. C’est lui qui prend la parole et raconte notre parcours, nos rencontres, notre histoire…

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BIOGRAPHIE :

Mme ARNOUX est titulaire d’un DEUG de psychologie obtenu à l’université de Strasbourg. Elle est également comportementaliste (spécialiste de la relation homme-chien), puis elle s’est formée au Québec en tant qu’intervenante en médiation animale et elle finit actuellement sa formation de psychothérapeute à l’Institut Grégory Bateson (IGB) à Paris utilisant le modèle de la thérapie brève systémique et stratégique.

Mme ARNOUX travaille avec ses animaux déjà depuis six ans dans la maison d’arrêt de Strasbourg en tant qu’intervenante en médiation animale (IMA). Son association Evi’dence a été co-lauréate du 2ème prix « Innovation Justice 2011 » par équipe pour son action à la maison d’arrêt de Strasbourg dans la catégorie « Innover au bénéfice de l’institution » pour le programme d’insertion et de professionnalisation des détenus au développement comportemental par la médiation animale et l’intelligence relationnelle. Son programme fait aujourd’hui partie intégrante de l’accompagnement de la personne détenue, sur l’ensemble des quartiers de l’établissement (mineurs, femmes, hommes). Une première en France…

Le milieu carcéral est venu à elle plus qu’elle à lui… Et depuis, elle ne l’a jamais quitté !