06 60 26 89 92 studio@philippetran.com

RESUME DU LIVRE 

Dans cet ouvrage, l’auteur raconte pour quelles raisons sa famille vendéenne et alsacienne-lorraine a débarqué en Algérie en 1971. Déportés politiques (communards) d’un côté, refusant de se soumettre au joug allemand de l’autre, ils n’avaient aucune intention de faire du mal aux autochtones peu nombreux à l’époque, mais uniquement de s’installer pour y travailler et y mener une autre vie. Il relate tous les évènements plus ou moins difficiles qu’ils ont vécus jusqu’au début « des événements d’Algérie », puis l’impact des premiers attentats, enfin leur rapatriement en France dans des conditions dramatiques. Il retrace aussi ce qu’il a personnellement vécu et fustige tous ceux qui ont contribué à dresser toutes les populations nord-africaines les unes contre les autres et à faire couler le sang d’innombrables innocents, juste pour défendre une utopie idéologique qui a montré ses crimes, ses excès et ses limites partout dans le monde.


Par-dessus tout, il ne peut s’empêcher de ressentir de la colère envers tous ceux qui ont insulté, méprisé, fait du mal à tous les membres de sa communauté et à prendre parti pour un adversaire impitoyable et sanguinaire alors que, pour la plupart, ils n’ont jamais mis les pieds dans ce pays avant 1962. Il estime que, tôt ou tard, les Français seront victimes d’une colonisation rampante, insidieuse et confessionnelle qui ne veut pas dire son nom mais qui a tout l’air d’un acte de revanche et de vengeance prémédité, lui semble-t-il.

 

BIOGRAPHIE : 

Enseignant, officier de réserve, policier et écrivain, l’auteur, né en Outre-mer, a passé plus de cinquante ans de sa vie a sillonné diverses régions du monde en passant de l’Afrique aux Amériques du Sud et centrale, via les océans Indien et Pacifique, etc. Des forêts vierges équatoriales aux savanes infinies, des déserts arides du Sahara à ceux de l’Altiplano, il a pu constater de visu la lente mais continuelle dégradation alarmante de tous les biotopes dans lesquels il a pu évoluer et relever les effets négatifs qu’elle projette tant sur les animaux que sur les hommes qui y vivent, de plus en plus difficilement d’ailleurs. Dès son plus jeune âge, il s’est livré à une observation et une étude très attentive de la nature qui l’entourait, ce qui le pousse à se déclarer plutôt « écologiste de terrain » qu’écologiste politique, même s’il est parfaitement conscient que la politique a son mot à dire dans cette affaire. En fait, son but principal est de voir enfin les hommes se réveiller et mettre en œuvre « LA CROIX VERTE INTERNATIONALE » pour le plus grand bien de tous.